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Lucine LECLERCQ, étudiante en Sciences politiques et au CMS

centre michel serres
Publié le 18/06/2019 , HESAM Université, Centre Michel Serres, Étudiants

Nous vous proposons de découvrir les témoignages des étudiants. Aujourd’hui c’est Lucine LECLERCQ, étudiante en Sciences politiques et travaillant sur le #projet_celebraction du Centre Michel Serres qui prend la parole.

Lucine, quel est ton parcours universitaire ?

Après une première année de STAPS j’ai fait une double-licence Histoire-Sciences politiques à la Sorbonne puis je me suis dirigée vers les relations internationales. J’ai fait un Master de recherche en Histoire contemporaine des Relations internationales, où j’ai rédigé un mémoire portant sur les enjeux politiques de la Coupe du Monde de football organisée par la dictature argentine en 1978, et pour lequel je suis partie un semestre à Buenos Aires. Pour compléter mon parcours, j’ai effectué ensuite un deuxième M2 en Sciences politiques - Relations internationales, qui m’a conduit à rejoindre ce projet dans le cadre de mon stage de fin d’études.

Pourquoi as-tu choisi de travailler sur le #projet_celebraction ?

Je suis passionnée par l’univers du sport et convaincue que c’est un enjeu majeur de nos sociétés. Pour moi le sport n’est pas simplement une pratique physique, mais également un vecteur de rencontre et de cohésion, qui amène chacun à prendre conscience de son propre corps et à développer des qualités mentales et spirituelles fondamentales. Le projet Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, porte des valeurs dans lesquelles je me reconnais : promouvoir l’inclusion sociale, le respect de l’environnement, la participation de tous à une célébration commune… ; c’est pourquoi je désirais faire partie de cette aventure.

À titre personnel, qu’est-ce que t’a apporté ce projet et que lui as-tu apporté ?

Ce projet m’a beaucoup apporté, tant au niveau du travail d’équipe que de la découverte de nouvelles méthodes de réflexion. Il m’a surtout appris que la créativité n’était pas quelque chose d’inné mais une réelle démarche de travail accessible à tout le monde. Au début du projet je doutais de ma capacité à innover et à trouver des idées originales pour créer des concepts attrayants. Pourtant, je me suis rapidement rendue compte que c’était la dynamique de groupe qui permettait la créativité, car chacun apporte ses connaissances, rebondit sur les idées des autres et approfondit. Je pense donc également apporter au groupe, par mon engouement, ma capacité à m’adapter aux tâches à effectuer, à accepter de changer parfois de direction lorsque l’on se rend compte qu’une idée mène à une impasse, et à pousser toujours plus loin la réflexion autour d’un concept pour le rendre tangible.

Ton projet consiste à célébrer Paris 2024 dans l’espace public. Peux-tu nous dire dans quel lieu parisien te retrouves-tu le mieux ?

Dans le parc de la Cité Universitaire, car on y est au calme, on peut retrouver des amis pour un pique-nique et faire du sport. L’ambiance est vraiment agréable et il y a moins de monde que dans les autres parcs. Dernière question ! Les Jeux sont indissociablement liés au sport.

En pratiques-tu un ?

Bien sûr ! J’ai longtemps fait de l’escalade, puis je me suis passionnée pour le volley-ball il y a quelques années. Je joue en club et je fais des tournois plein air l’été. Ce sport regroupe la complexité technique, la rigueur physique et le jeu collectif, en plus d’être un sport de balle, ce qui en fait pour moi le plus complet. J’aime aussi beaucoup le VTT, pour ses aspects techniques et les moments d’évasion qu’il procure.