Pierre RADOVITCH, étudiant aux Arts et Métiers et au CMS
Nous vous proposons de découvrir les témoignages des étudiants pour suivre leur quotidien au Centre Michel Serres. Aujourd’hui c’est Pierre RADOVITCH qui prends la parole sur son parcours et sur les avantages d'intégrer le Centre Michel Serres.
Pierre RADOVITCH, qu’est-ce qui vous a amené au Centre Michel Serres ?
Je suis actuellement étudiant-ingénieur en Master 2 à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers. Je suis venu au Centre Michel Serres pour un semestre, dans le cadre de ma dernière année d’études. J’ai toujours été autant attiré par les disciplines dites « littéraires » que par les sciences, et c’est un goût que j’avais un peu laissé de côté dans mes études. Le Centre Michel Serres était l’endroit parfait pour renouer avec cette pluridisciplinarité.
Comment avez-vous appréhendé le travail de projet en groupe ?
J’ai travaillé sur le projet #CarrePichon « Comment connecter le campus Arts et Métiers de Paris à la ville à travers la refonte du Carré Pichon ? » avec une équipe composée de six personnes. Nous avons l’habitude de travailler avec des étudiants qui ont fait les mêmes études que nous et qui ont les mêmes façons de travailler. Il est difficile de se rendre compte à quel point les façons de travailler des autres peuvent être différentes ! Au départ, chacun d’entre nous a dû laisser de côté son mode de travail bien rodé, pour apprendre à connaître celui des autres, les différentes façons de faire… Et finalement, nous ressortons de cette expérience avec bien plus d’aptitudes et d’agilité pour travailler en groupe.
Que retenez-vous du semestre Michel Serres, par rapport à votre cursus ?
Je n’ai pas appliqué beaucoup de choses vues en cours lors de ce semestre. J'ai par contre pris conscience de l’importance des compétences transversales, le savoir-être, la capacité à communiquer, à argumenter, à synthétiser, à prendre du recul sur ses idées… Ce sont celles-ci qui m’ont été le plus utiles lors de ce semestre. Et c’est justement ce que je recherchais. J’ai pu laisser de côté la technique pure et dure, qui ne me passionne pas vraiment, pour un projet extrêmement varié, durant lequel j’ai pu aller sur le terrain, échanger avec plein de personnes différentes…
Le Centre Michel Serre nous pousse à être exigent avec nous-mêmes, à repousser nos limites de créativité pour aller aussi loin que possible dans l’innovation. Tous ces aspects m’ont tellement plu, que je vais effectuer mon stage de fin d’études dans une startup de conseil en innovation immobilière, domaine très proche de mon projet du Centre Michel Serres.