Mathilde RATOUIS, Etudiante aux Arts et Métiers et au CMS
Nous vous proposons de découvrir les témoignages des étudiants pour suivre leur quotidien au Centre Michel Serres. Aujourd’hui c’est Mathilde RATOUIS qui prends la parole sur son parcours et sur l’avancée de son équipe dans le cadre du projet d’innovation #VilleetFleuve.
Mathilde Ratouis, quel est votre parcours universitaire ?
Après deux années en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE), j’ai intégré l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers (ENSAM). Je suis actuellement en troisième et dernière année d’école d’ingénieur.
Pourquoi avez-vous choisi le Centre Michel Serres ?
J’ai choisi de m’orienter vers le Centre Michel Serres car je souhaitais expérimenter la pluridisciplinarité à l’échelle d’HESAM Université. J’ai été attirée par l’ouverture d’esprit apportée par cette approche qui confronte les étudiants issus de diverses formations et crée des échanges entre eux. En outre, l’innovation est un enjeu prépondérant dans la société ; le Centre Michel Serres déploie un immense champ de liberté et stimule la créativité des étudiants afin de les aider à répondre aux enjeux d’innovation des projets qui leur sont attribués.
A quel projet d’innovation participez-vous et que vous apporte-t-il professionnellement et/ou personnellement ?
L’intitulé du projet auquel je participe est “Berges de Seine et d’Yerres : quels usages innovants pour rapprocher ville et fleuve ?”. Travailler sur ce projet m’a permis de réfléchir et de me tourner vers des disciplines totalement inconnues telles que l’urbanisme ou l’architecture. J’ai ainsi été confrontée à d’autres visions d’un même sujet. Ma sensibilité par rapport à certaines questions sociétales s’est développée.
Comment décririez-vous le quotidien au Centre Michel Serres ?
Le temps passé au Centre est divisé en deux parties : des ateliers tous les lundis animés par des intervenants tous plus différents les uns que les autres et le travail sur le projet le reste du temps. Ce qui est vraiment génial c’est que l’on a l’impression d’être déjà dans le monde professionnel car chaque équipe se fixe son propre cadre de travail et bénéficie d’une vraie autonomie. Nous avons un tuteur de projet qui nous guide en venant nous voir deux matinées par semaine et il nous aide à étayer nos réflexions, nous apporte des références et des orientations possibles.
Vers quoi vous dirigez-vous désormais après votre passage au Centre Michel Serres ?
Je cherche un stage de fin d’études de six mois dans des ONG ou des fondations qui œuvrent pour l’environnement et plus particulièrement pour la protection de la nature.