Lucas DEMAY, étudiant aux Arts et Métiers et au CMS
Nous vous proposons de découvrir les témoignages des étudiants. Aujourd’hui c’est Lucas DEMAY, étudiant à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers, en projet d'innovation du Centre Michel Serres sur le projet #Epopée2030.
Lucas, qui êtes-vous ?
Je m'appelle Lucas DEMAY, étudiant-ingénieur à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers. En ce qui concerne mon parcours, après un baccalauréat scientifique, Science de la Vie et de la Terre (S-SVT), j'ai fait une classe préparatoire PTSI/PT (physique, technologie et sciences de l'ingénieur/ physique technologie) de deux ans avant d'intégrer l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers sur le campus de Cluny. Je suis actuellement sur le campus de Paris pour faire mon semestre au Centre Michel Serres dans le cadre d'un échange universitaire.
Parlez-nous de votre projet d'innovation ?
Le projet sur lequel nous travaillons se nomme « Quel mode de vie énergétique locaux en 2030 ? » #Epopée2030. Commandité par le Groupe Bouygues, c'est un projet qui aborde les façons dont les gens vont vivre en relation avec l'énergie dans le futur. Nous nous intéressons également à l'habitat, à la mobilité et aux questions de dimensions sociales.
Qu'est-ce qui vous a motivé à travailler sur ce projet ?
Pour les élèves ingénieurs de l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers, le semestre Michel Serres remplace un semestre d'expertise de troisième année. Ce qui m'a vraiment poussé à choisir le Centre Michel Serres, c'est principalement l'aspect pluridisciplinaire et le fait de travailler en groupe. Je trouve ça intéressant de confronter son point de vue et surtout de sortir un peu de la posture de l'ingénieur. Autrement dit, l'important pour moi c'est d'essayer de s'ouvrir l'esprit !
Quels peuvent être les impacts de votre projet sur l’environnement ?
Le Groupe Bouygues est à la recherche des pistes venant d'un public jeune pour imaginer des scénarios de modes de vie en 2030. En réalité, le champ d'application du Groupe Bouygues est très vaste et à terme, nous pourrons par exemple arriver à un scénario qui est plus pratique et moins théorique.
Que vous a apporté votre expérience au Centre Michel Serres ?
Personnellement, je crois que le fait d'apporter sa pierre à l'édifice est quelque chose de vraiment utile. Et dans la même veine, nous apprenons énormément des uns et des autres. Par exemple, notre juriste Sabrina nous raconte toujours des histoires sur des affaires qui ont été jugées et les décisions un peu folkloriques qui ont été prises et ce sont des choses qui me passionnent et qui me font rire. Au-delà de ça chacun a son domaine de compétence mais aussi son point de vue. Je trouve ça très beau et enrichissant de travailler en équipe.
Que souhaitez-vous faire après votre passage au Centre Michel Serres ?
Après cette expérience au Centre Michel Serres, je vais chercher un stage de six mois à l'international idéalement dans un pays asiatique, histoire de vraiment changer de culture et de mode de vie. Ainsi, j'aimerais bien travailler dans un bureau d'études de conception, d’innovation ou de recherche et développement, etc.